Indécence, délire, attitude criminelle, mépris pour les soignants et tous les Français, jusqu’au boutisme libéral ? C’est un peu tout ça que condense Christophe Lannelongue, patron de l’Agence régionale de santé du Grand Est. En pleine pandémie, les équipes soignantes au bout du rouleau, les familles endeuillées, Christophe Lannelongue annonce la suppression de 600 postes et 174 lits au CHRU de Nancy. On croit rêver! « Moi, je fais mon boulot, dit le forcené libéral. J’applique ce que le ministère a décidé ». Le ministre Olivier Véran fait un démenti qui inquiète presque autant : « tous les plans de réorganisation sont suspendus ». Vous avez bien lu : « suspendus » et non « annulés ». Le ministre attend-il la fin de l’épidémie pour continuer à tuer l’hôpital ?
Le monde d’après risque d’être pire que celui d’hier. Il serait temps de changer de système !
Rétablissons l’ISF, imposons les grosses boites comme les petites, luttons contre l’évasion fiscale ! L’humain d’abord ! Pas la finance !